Spectacle le copain d’abord

Brassens par Uzureau

Avec Pierre Debiesme et Anne Gouraud
Avec Pierre Debiesme et Anne Gouraud

Yves UZUREAU tourne avec son spectacle BRASSENS, Le Copain d’abord, depuis 1994 :

« Je suis heureux de faire ce spectacle à la manière d’un comédien qui interprète Molière. Il y a le côté “sacré” du classique auquel on ne peut pas enlever une virgule et en même temps d’infinies possibilités d’interprétations. Oser présenter les chansons de BRASSENS implique – à mon sens – de proposer autre chose que ce qu’il a fait. BRASSENS nous a légué un magnifique album à colorier. J’ai colorié cet album selon mon inspiration. »

(Interview accordée à Je chante !, n° 23, juillet 1998).

« La mort, la mort, la mort le prit sur l´abdomen de sa complice »
(G. Brassens – Le nombril des femmes d’agents)

LE COPAIN D’ABORD en scène

Depuis sa création en 1994 et son passage dans la célèbre salle parisienne de Bobino Le Copain d’abord tourne dans toute la France (festivals, théâtres municipaux, centres culturels, réseaux associatifs, soirées privées et aussi à l’étranger dans le cadre des Alliances françaises : Athènes, Libreville (Gabon), Casablanca, Macédoine, tournée en Afrique du Sud, au Botswana et en Namibie…

LES MUSICIENS

Pierrot DEBIESME : « Toute musique est ludique. »

Photo : Chantal Bou-Hanna

Guitariste, auteur, compositeur, chanteur. A suivi des cours d’harmonie avec Paul Elias. A accompagné bon nombre de chanteurs et chanteuses, a joué dans divers groupes. Prix des fêtes romanes avec sa chanson Pierrot. A participé à plusieurs tournées en Europe, Afrique et Proche-Orient…

Site
Découvrez la biographie de Pierrot Debiesme

Anne GOURAUD

Anne Gouraud Shrestha

Anne part à l’armée, avec une flûte, dès l’âge de 6 ans, en chantant. À 14 ans, elle change son fusil et apprend la contrebasse. À 20 ans elle quitte Nantes pour Paris, entre au théâtre (espace Acteur) puis au CIM (école de jazz). Elle joue tour à tour dans Paris-Canaille, Les Gros qui Tachent, les Castafiore Bazooka, les P’tits’a, Merci Madame, Martine à la Plage, Urban Sax et Mami Chan Band (durant 13 ans). Avec aussi Les Demi-Frères, les Elles, Rachel des Bois, Fredda, l’école des Filles de Joie, Matthieu Borré, Yor, Jacques Rebotier (toujours et encore ! De l’Omme, La Légende du dodo, Des Feuilles et des feuilles, Chansons climatiques – 2016) et.… Yves Uzureau, elle prend du bon temps. Depuis 2015, son quartet Djazz’elles s’est rétréci en duo avec l’accordéoniste Clarisse Catarino, elles montent leur nouveau spectacle, aidées de Jean-Marie Lecoq : Parlez-vous Djazzelles ? 2016. Si elle avoue, lors d’une interview de Rosy Palmer sur Radio Ouïe-free, marionnette émérite de Pantin, une nette attirance pour l’Azonto et la musique concrète ainsi qu’un faible pour Renaud, tous les styles lui parlent et son horizon musical semble illimité. Son naturel, son dynamisme et sa présence scéniques joints à la précision impeccable de son jeu et à son sens aigu de l’improvisation la place d’emblée parmi les grands, les plus grands.
http://djazzelles.weebly.com/

PRESSE

Lien vers le dossier de presse

LE MONDE

« Yves Uzureau, accompagné de ses musiciens, revisite avec délectation le répertoire de Georges Brassens. Un bel hommage, sans faute de goût. »

LE FIGARO

INSPIRÉ
« […] Yves Uzureau […] fait preuve d’une inspiration féconde, d’une imagination prolixe. Outre le fait qu’il sache bien chanter “au naturel” les chansons de Brassens (c’est de l’ordre de l’évocation, du partage, de la communion, c’est bon et ça tient chaud), il ose les habiller de climats nouveaux, déplacer les meubles, changer les rideaux. » Bertrand Dicale, 23/12/96

LE PARISIEN

FIGURES LIBRES
Chanter Brassens à Bobino, c’est revenir sur les lieux du crime, là où le barde de Sète se fit une réputation moins mauvaise qu’il ne l’aurait rêvée, aux bornes de son quartier d’élection. Yves Uzureau chante et fête Brassens, avec autant de modestie que de liberté. Ce qui nous sort de la routine, c’est le son de guitare inattendu et rafraîchissant de Pierre Debiesme, tantôt folk, ou légèrement jazzy, mais surtout électrique, presqu’une révolution. Bien qu’au fond on y entende parfois un “touché Django” fidèle à certains enregistrements. Yves Uzureau s’amuse avec les classiques. Sa version du Gorille est séduisante, presqu’un tube tropical, décontraction distante de la voix, chœurs aériens et chatoiements de guitare électrique. Comédien, il se lance dans une version a cappella beaucoup plus risquée du Nombril des femmes d’agents. Il habille et déshabille des chansons qui prennent ainsi l’air. Bon vent ! » Yves Jaeglé, 21-22/12/96

LIBÉRATION

« Après avoir servi Brel, Uzureau tourne avec cet hommage à Georges Brassens qui a été loué unanimement. »

JEAN-MICHEL BORIS, ex-directeur de l’Olympia

« Bravo Yves. Continuez. Nous avons besoin de gens de votre qualité pour sauvegarder notre patrimoine CHANSON. »

LES AMIS DE GEORGES

« À la fois comédien et chanteur, Yves Uzureau sait surprendre son public : son interprétation est vivante, ponctuée de clins d’œil. Il pose une très belle voix dont le timbre et les inflexions mettent en valeur des chansons parfois difficiles. Il joue aussi subtilement avec les silences. Tout semble porter, entraîner, enchanter le public : a cappella, l’ambiance intimiste, la complicité des musiciens et leur évident plaisir à jouer. Grâce à eux, j’ai été touchée par la portée de l’œuvre de Brassens, la justesse et la finesse de ses mots, la richesse musicale que l’on dit si souvent sobre. Je suis rentrée tard ce soir-là mais l’enthousiasme est contagieux et je me suis alors mise à écouter Brassens. » Sabrina de Velder, nov. 1995

Tonalités, Journal de Radio-France

« Ceux qui n’ont d’oreille que pour les textes de Brassens, laissant de côté une facette essentielle de son talent, comprendront qu’ils se sont peut-être laissé influencer par la formule tellement modeste à laquelle il sut rester toujours fidèle : une guitare, une contrebasse. Pourtant la moindre petite touche supplémentaire, quelques guitares dont une électrique, un synthétiseur, peuvent donner une nouvelle vie à ces airs qui ne demandent que ça. C’est ce que l’on découvre tout au long de ce tour de chant ; des options toutes aussi heureuses, préservant sans aucune faute de goût la sobriété originale, des versions parfois inattendues mais ne trahissant jamais ces textes qui tombent si bien, chaque mot placé exactement sur la note qui l’attend. Beaucoup d’entrain aussi de la part de ce petit groupe de musiciens qui participe joyeusement à l’expérience, chacun laissant aller son inspiration pour que la fête soit parfaitement réussie. » Philippe Carminati, février 98

ÈVE GRILIQUEZ

« Yves Uzureau chante les chansons de Brassens avec beaucoup d’élégance et de finesse, dans un style très jazzy. Il y met toute sa fougue et sa tendresse. »

VINYL

« On ne peut que saluer le formidable travail personnel d’Uzureau et ses trois complices […] qui nous tricotent des arrangements et des chœurs qu’aurait certainement appréciés et applaudis Tonton Georges. » Robin Rigaut, printemps 98

FABRICE VENTURINI

« La plus grande richesse du travail d’Uzureau est certainement à situer dans sa flagrante capacité d’interprétation : en intuitif parfait, il sait sonder l’essentiel d’une chanson en jouant autant sur le visuel que sur la singulière palette rythmique dont il colore ce qu’il offre à entendre. » Georges Brassens ou la parole distanciée, Librairie A. G. Nizet, coll. « Chanteurs-Poètes » n° 3, Paris, sept.1996

Brassens, Le copain d’abord, en public

25,00 

Concert enregistré au Forum Léo Ferré en 2018 Double CD (17 titres) / DVD (29 titres) 1. La ballade des cimetières 2. Le vent 3. La complainte des filles de joie 4. Les ricochets 5. Imitations 6. Le gorille 7. L’épave 8. La ronde des jurons 9. Oiseaux de passage 10. La route aux quatre…

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